Niama le Bienfait
Ce que tu donnes est à toi pour toujours !
Ce que tu gardes est perdu à jamais.
Nos Témoignages
Témoignage de Mme Djellali Chérifa - Projet Fondation

Suite à la demande d'un ami pour la visite d'un de ses proches à l'hôpital "Georges Pompidou" durant une semaine et à l'appel de l'association "VPH" (visite des patients hospitalisés), j'ai pu visiter (moi-même, Mme DJELLALI) les malades durant leur séjour dans différents hôpitaux de Paris et ce pendant une année car j'avais alors adhérer à cette association comme bénévole.

J'étais chargée d'apporter une aide aux patients venant de l'étranger, et atteints de maladies graves. Des patients isolés de leur famille, souvent démunis et installés dans des maisons de parents. L'aide consistait un soutien moral, à des sorties lorsque les soins le permettaient, à des dons de vêtements (suite à des collectes), de repas, de cartes téléphoniques et autres. Il faut comprendre que seuls les soins sont pris en charge et que tout le reste y compris la nourriture sont à la charge du patient. Les familles qui souhaitent être à leur côté doivent également assumer l'intégralité des frais qui en découlent. C'est la raison d'être de la maison des parents. Et ce qui motive la création de l'Association Niama le Bienfait.

J'ai eu la chance de rencontrer dans ce même lieu un enfant de douze ans nommé Hatim KHOUYA. Hatim qui venait du Maroc était atteint d'une forme grave de leucémie. Image flottante Il était accompagné de sa mère et de sa jeune sour. Cette dernière lui avait fait don de sa greffe osseuse. Hatim était un enfant joyeux, combatif et plein d'espoir. Lorsque la maladie s'est aggravée il était obligé de rester permanence à l'hôpital. Ainsi, séparé de sa mère dont il était très proche, son moral a commencé à décliner rapidement, lui faisant dire qu'il serait le prochain sur la liste à partir. Il s'est éteint après deux ans de combat. Ne profitant pas de sa famille, l'idéal aurait été que l'enfant soit entouré par les siens dans un établissement thérapeutique. Son vou le plus cher était la création d'un lieu d'accueil pour les proches. C'est une promesse qu'il nous a demandé, avec lucidité et force, de tenir avant de partir.

J'ai été très fortement touchée par Hatim, je suis certaine que vous l'auriez été également. Imaginez un instant un de vos proches qui serait dans cette situation. Malgré la bonne volonté des assistantes sociales pour aider les familles à trouver des appartements, force est de constater que tout n'est pas aussi simple. Face à ce constat la création d'une maison des parents pour les personnes venant de l'étranger s'imposait alors.

Nous avons donc pris l'initiative de mettre en place cette maison de parents, à Paris intramuros, avec l'aide de quelques personnes. Nous sommes donc à la recherche d'un bâtiment pour abriter ce projet ambitieux. Le dépôt du projet se fera sous forme d'association et nous espérons qu'il sensibilisera le plus grand nombre. Maintenant c'est à vous de participer, de quelque façon que ce soit, avec vos idées et vos moyens. L'union fait la force et chacune de vos démarches en ce sens illuminera votre vie pour longtemps.

Témoignage de Mr Aziz KHOUYA - Hôpital Saint Louis Paris

La vie était calme dans le village de Karia Ba Mohamed région de Fès au Maroc, où vivait Hatim KHOUYA, enfant né le 07/11/1995. Loin du bruit du modernisme, la famille était heureuse.

Ce fut en novembre 2002 que la catastrophe nous tombait dessus comme un déluge.Image flottante Hatim est atteint de la Leucémie : maladie grave nous annonçait le docteur, à Fès grande ville, à 60 km de Karia.
Il n'y avait ni pédiatre, ni laboratoire d'analyse… En fait, c'était le commencement d'un vrai cauchemar.
Hatim commença le traitement : cure de chimiothérapie à Rabat où on se rendait chaque semaine, c'était une vraie galère sans voiture.

En Mars 2005, il est en rémission, la famille est très contente. On a cru à la guérison mais à peine 15 mois passés, une rechute testiculaire isolée est déclarée; Hatim recommença son traitement lourd qui provoque aplasie profonde.
Malheureusement, à Avicenne, à Rabat, il n'y a pas de salle où plutôt chambre stérile. Hatim supporte relativement bien ses cures à part une allergie qui apparut lors de la 4ème cure, mais tolérable, sauf qu'elle a causé un odème dans la fesse qui a contraint Hatim a resté immobilisé pendant 10 jours.

Lors de la 6ème cure, il a subit une forte allergie, les docteurs ont décidé d'arrêter l'aspergenase; ce qui a poussé toute la famille à penser a l'alternative de la France.

Hatim accompagné de son père, atterrissent en France à Paris le 11/06/2006, sans prise en charge de la C.N.O.P.S : Sécurité social Marocaine. Après dix jours, il est hospitalisé à l'hôpital Saint – Louis où il commença les cures avec un substitut de l'aspergenase qui est l'évwina après c'est la rémission.

Hatim se trouvait chez la famille. En juillet 2007, c'est la deuxième rechute. Cette fois-ci c'est une rechute modulaire. Les docteurs ont décidé d'une greffe allogénique pour Hatim et c'est le recommencement d'une autre cure.

En septembre 2007, Latifa, la maman de Hatim, et sa petite sour Douaa, a peine âgée de un an et demi, arrivent en France. Douaa est la donneuse de moelle, elle est la seule compatible (HLA) parmi ses trois sours et frères.
A part les problèmes de la maladie de Hatim, se pose un autre problème : c'était le logement pour Hatim, sa maman et sa petite sour. C'est moins grave que le logement mais il y avait aussi le problème de nourriture.

Image flottanteAprès maintes recherches, la seule solution a été la maison des parents à l'hôpital Saint - Louis. Le souci était d'acquérir une chambre pour les trois. On devait payer la part complémentaire soit l'équivalent de 18 € par nuit et c'est avec l'aide de Dieu qu'ont devait gérer le financement.

La maison des parents à Saint – Louis est une bonne chose. C'est un établissement chrétien qui a eu l'idée de la mise en service pour leurs malades et leurs accompagnateurs.
Pour un non musulman, il trouvera un refuge acceptable. Par contre, un musulman doit accepter certaine chose au dépend de son identité religieuse.

A la maison des parents, c'est mixte: il n'y a pas de séparation entres les femmes accompagnatrices et les hommes accompagnants de leur enfant, la cuisine aussi ainsi que le réfectoire.

Mais le plus regrettable ce sont les toilettes et les douches, un musulman doit se sentir gêné.

Il faut noter aussi qu'une n'y aucune salle de prière car dans une pareille situation, l'accompagnateur du malade a besoin d'être tout près de Dieu et c'est en priant qu'il le réalise, c'est dommage.

Je tiens à dire que pendant notre séjour à la maison des parents, nous avions fait la connaissance de deux gentilles femmes Chérifa DJELLALI et Karima BELAID, qui nous ont tant soutenu tant moralement que matériellement; elles nous rendaient souvent visite avec beaucoup de soutien.

Au mois du ramadan, Mme Chérifa DJELLALI nous rendait visite presque tout le temps; elle faisait la rupture du jeune et partait que tardivement le soir, elle nous apportait de la nourriture. Que Dieu accepte sa bienfaisance. Nous remercions aussi le bénévole aumônier Mr AIT Kasi, chaque vendredi après – midi, il nous rendait visite, que Dieu accepte ses dons pour Hatim. ALLAH REHMO.

Le père Khouya qui est resté au Maroc avec ses deux enfants, Abdallah et Rim, et la mère, qui était en France avec ses deux enfants Douaa et Abeer, ce sont réunis après une séparation de 2 ans.
Hatim est décédé le 5 octobre 2009 et comme c'est à travers ces quelques lignes que vous êtes brièvement au courant des faits de ces 2 années. Mais la douleur n'est pas possible à décrire".

Témoignage de Mme MOUNIA - Hôpital Lariboisière Paris

Image flottanteJe porte mon témoignage àl'association VPH (maison des Parents) qui m'a vraiment aidé pendant mon parcours de santé concernant mon fils Houacef-Mohamed. Malheureusement il est décédé le 11/06/2009 après avoir été greffé suite à la maladie "leucémie myéloblastique".

Je suis arrivée en France le 25/07/2008 et depuis la perte de mon fils j'ai eu des problèmes de santé, je souffre de recto-colite-hémorragique (R.C.H), de stress, de maux d'estomac et d'une déficience visuelle.

J'avais donc un suivi médical et pas de logement à ma disposition, j'étais sans cesse en déplacement permanent chez des gens. Je souhaite donc une très bonne réussite à l'association qui à fourni un énorme travail pour m'héberger.

Je suis toujours en cours de traitement médical en France.

Témoignage de Mme Zora HOUNET - Hôpital Lariboisière Paris

Victime d'une maladie NOSOCOMIALE, je suis arrivée d'Algérie en France le 16 janvier 2008 pour me faire opérer d'une sténose laringo-trachéale (causée par une méningite bactérienne post rachianesthésie pour une césarienne) à l'hôpital LARIBOISIERE. Cette opération était prise en charge par l'état Algérien, d'une durée de 30 jours maximum.

Admise au service ORL en date du 20/01/2008, j'ai été opérée et suivie par le Professeur TRAN BA HUY qui a jugé mon cas très délicat, nécessitant un suivi très proche. Cette hospitalisation dépassera la limite de ma prise en charge de 3 jours. En date du 15/02/2008 (avant l'expiration de la prise en charge), le professeur TRAN BAN HUY a envoyé une requête de prolongation aux services concernés de la caisse sociale d'Oran – Algérie, dont la réponse fut négative.

Image flottanteAu mois d'avril 2008, j'ai fais appel par une seconde demande de prolongation, dont j'ai reçu une réponse négative le 07/05/2008. Je suis donc à ce jour redevable d'une dette d'un montant de 4254,40 euros, correspondant à mes trois nuits supplémentaires à L'A.P.H.P.

Vu ma situation familiale exceptionnelle, n'ayant aucune ressource de revenu, et étant à ce jour dans l'incapacité de travailler, j'ai sollicité à plusieurs reprises tous les services sociaux (médiateur des Hôpitaux, Service des droits des patients, et le trésor public) sans aucune réponse positive.

Je vous informe Madame, Monsieur que j'ai été domiciliée à la Maison des Parents de l'Hôpital St Louis, durant toute la période de mon suivi à l'APHP, dont le loyer et mes frais de nourriture étaient prisent en charge par une association humanitaire.

Je reste à votre disposition pour tout autre renseignement complémentaire.

Témoignage du couple BELAZGHEM Alia et Chikh - Hôpital Lariboisière Paris

Nous sommes arrivés en France le 29/01/2009 pour des soins médicaux après 7 ans de souffrance en Algérie.

Votre navigateur ne gère peut-être pas l'affichage de cette image.Mme Alia Belazghem atteint de diabète très sévère depuis 25 ans qui s'est aggravé au fil des années et a eu des conséquences sur sa vision, ses jambes ainsi que sa tension.

Actuellement après 3 interventions chirurgicales elle est mal voyante de l'oil gauche et a pratiquement perdu l'oil droit car elle ne voit qu'à 10% de sa capacité. Elle est actuellement en chaise roulante et est suivie à l'hôpital Lariboisière par le professeur Masin.

Durant son suivi médical, nous passions nos nuits àl'hôtel et ces frais en plus des frais médicaux (soins et traitements) étaient trop importants pour nous, nous y avions épuisé tout notre argent.

Le jour où nous avons eu la visite de l'association Niama à l'hôpital, celle-ci nous a pris en charge et a pu nous décharger d'un lourd fardeau. Que DIEU les aide dans ce travail humanitaire.

Mme Alia est toujours en cours de traitement.

Bonne chance et bonne réussite.

Témoignage d'Emmanuel et Dolly de l'Ile de la Réunion - Hopital Saint Louis Paris

Par cette présente, nous tenons à témoigner de toute notre sympathie et de toute notre reconnaissance àl'Association" Niama Le Bienfait" pour leur gentillesse, leur joie de vivre, leur disponibilité, leur amour pour nous, des personnes qui sommes parfois démunis devant la maladie et la souffrance.

Cette association s'occupe de nous moralement afin de nous permettre de garder le sourire, la joie de vivre et notre foi en DIEU.

Merci àvous pour tout ce que vous nous avez apporté.

Bisous àCherifa et Karima

Témoignage de Mme LANGITOTO Monique - Hôpital Saint Louis Paris

Je soussignée Mme Langitoto Monique, mère de l'enfant Manuia âgée de 16 ans et suivie à l'hôpital St-Louis pour une leucémie aigüe myéloblastique de type 2, remercie Votre navigateur ne gère peut-être pas l'affichage de cette image.beaucoup l'association "Niama le Bienfait", Votre navigateur ne gère peut-être pas l'affichage de cette image.de nous avoir accompagné dans nos besoins dans les bons moments comme dans les mauvais.

Je les remercie de nous avoir accompagnédans toutes nos courses (alimentaires, vestimentaires …) et surtout au niveau financier.

Un grand " MERCI " à l'association Niama et Incha'ALLAH que l'association puisse grandir afin d'aider beaucoup d'autres malades.

Merci beaucoup.

Témoignage de Mme BELAIR Pierrette, Guyanaise - Hopital Saint Louis Paris

Je soussignée Mme BELAIR Pierrette, résidente àla maison des Parents, remercie l'association "Niama le Bienfait" de s'être occupé de moi et de m'avoir soutenue tout au long de mon séjour à la maison des parents St-Louis.

Encore un grand "MERCI" à Cherifa et Karima de leur disponibilité auprès des malades.
Que DIEU vous garde!

Je suis atteinte d'une maladie de la thyroïde

Témoignage de Youssef Ahmed - Hopital Saint Louis Paris

Je soussignéYoussef Ahmed accompagnéde mon oncle Mohammed Ould'Cheira remercions l'association "Niama le Bienfait", de s'être occupé de nous durant notre séjour à la maison des Parents de St-Jean. Merci beaucoup.

PS: Mon oncle est atteint d'une grave maladie "un cancer du sang"

Témoignage de Michelle - Hôpital Saint Louis Paris

Par ce petit mot je remercie l'association " Niama le Bienfait " spécialement Karima et Cherifa qui m'ont permis de connaître avant de partir de la métropole certains centres commerciaux.

J'apprécie surtout leur gentillesse car elles n'hésitent pas dès qu'elles le peuvent à se rendre disponible.
Je souhaite que l'association puisse continuer de vivre pour le bien-être de tous ceux qui se retrouvent seuls.


Je souhaite longue vie à l'association " Niama le Bienfait ".

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